mercredi 26 février 2014

Péavis de grève ce week-end pour les départs au ski


RÉACTION - Un préavis de grève a été déposé pour samedi 1er et dimanche 2 mars par Sud Rail et la CGT cheminots de la région ferroviaire de Chambéry, pour le grand chassé-croisé des vacances d'hiver.

Le week-end s'annonce compliqué pour les voyageurs sur les rails dans les Alpes. Un préavis de grève a été déposé pour samedi 1er et dimanche 2 mars par les cheminots de la région ferroviaire de Chambéry pour le grand chassé-croisé des vacances d'hiver. L'Ain, la Savoie, la Haute-Savoie et l'Isère sont concernés. Pour l'instant, les négociations entre les syndicats (Sud Rail et  CGT) et la direction sur le manque de moyens sont au point mort. 

Le mouvement peut encore être levé. Mais si rien n'aboutit d'ici vendredi après midi, "il y aura des désagréments très importants pour les voyageurs", assure le secrétaire général des cheminots de la CGT Chambéry. "On ne dépose pas un préavis de grève sur un tel week-end sans avoir pris tous les éléments en compte. Il ne s'agit pas d'un coup de bluff. On est disponibles jusqu'à vendredi 17 heures pour faire en sorte de trouver un terrain d'entente. Il y a plusieurs dizaines de milliers de voyageurs qui sont attendus. La vraie responsabilité de la direction, c'est de nous entendre", précise Bernard Tournier.

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samedi 22 février 2014

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samedi 15 février 2014

TAXIS vs VTC

Taxis vs VTC: Cinq raisons qui montrent que le modèle du taxi s'essouffle, selon nos internautes (20 minutes.fr)


TÉMOIGNAGES - Voiture ou chauffeur ou taxi? En affichant clairement leur préférence, les internautes de «20 Minutes» intiment les chauffeurs de taxi à «se remettre en question»...

Une pancarte lors d'une manifestation de taxis à l'aéroport de Roissy (Val d'Oise) le 10 février 2014 THOMAS SAMSON / AFP


Difficile de ne pas voir la tendance qui se dessine parmi les internautes franciliens, toujours favorables à «la concurrence qui rafraîchit l’offre et c’est tant mieux», comme l’écrit M. A Paris et en banlieue, prendre un taxi n’est pas rare. En fin de soirée, pour rentrer de l’aéroport ou pour raisons professionnelles. L’expérience est là, et ne parle pas pour les taxis.
Face à eux, les voitures de tourisme avec chauffeurs (VTC) bousculent le modèle classique et font dire aux internautes que l’heure est au renouveau. «Je suis au regret de vous annoncer qu'un client qui a goûté aux VTC, c'est un client adopté, juge un internaute. Et il fera des émules autour de lui. Voyez les VTC comme des collègues, mettez-vous au niveau, un point c'est tout.»
1-      «Des rustres malpolis»
C’est sans doute la critique qui revient le plus souvent. Mythe «qui nous fait passer pour des rustres malpolis» se plaint un internaute chauffeur de taxi ou réputation méritée, les taxis sont décrits par beaucoup d’internautes comme peu courtois, avec un véhicule peu accueillant. «Ils se croient tout permis», résume Sylvie. «Ton agressif, voiture sale, voire alcool au volant»: S. pourrait «écrire un roman».
Les VTC, eux remportent la palme de l’accueil. «Courtois, la voiture sent bon, il n’y a pas la musique à fond ou le match de foot» selon Sylvie. «Oui si les VTC ont du succès, c'est qu’ils ne vous gueulent pas dessus et en plus, on peut arriver à l'heure.»
2-      «Ils râlent parce que la course est trop courte»
Porte de Saint Cloud il y a quelques semaines, après un salon, Sylvie, qui travaille dans l’événementiel, cherche un taxi pour rentrer chez elle à Sèvres. A 10 minutes de voiture certes, mais chargée de plusieurs valises. «Prenez le suivant». Sylvie a entendu cette phrase une dizaine de fois. «Ils soufflaient, se souvient-elle, comme s’ils étaient excédés». Quand elle parvient à en convaincre un, elle passe 10 minutes dans une voiture «miteuse», conduite par un chauffeur «qui n’a pas arrêté de râler parce que la course était trop courte.»
3-      «En proche banlieue, on ne le demande pas, on le quémande»
Fossoyette nous rejoue le scénario habituel. «En proche banlieue, le chauffeur nous dit après une heure et demie d'attente "vous avez de la chance que je sois là". On ne le demande pas, on le quémande.» Après «10 ans en Ile-de-France et pas mal de déplacement en avion», S. confirme. «Orly-Rueil Malmaison, aucun taxi n'a voulu me prendre. Il m’a fallu 2 heures avec 20 kg de bagage pour en trouver un pas très officiel qui accepte la course.»
4-      «Des surprises sur le prix»
«Pour en prendre régulièrement, nous dit Loulou, sur une course "standard", le VTC est un peu plus cher que le taxi.» Un prix parfois plus élevé, comme nos testeurs l’ont vu à Paris. Mais pas de surprise. Surtout, pas d’esbroufe possible, de courses rallongées ou de compteurs déjà enclenchés, illustre Sylvain. Et si le prix vous déçoit, avec les VTC, «vous avez la possibilité de refuser la course», poursuit Slyde.
5-      «Ils ne prennent pas la carte bancaire»
«Combien de fois ai-je entendu un conducteur de taxi dire que son appareil de carte bancaire est en panne? interroge Aksel. Ou encore mieux qu'il ne la prend pas. A ce jour le service des taxis notamment parisiens n'est pas à la qualité attendue du XXIe siècle.» «Taxis, vous voulez travailler? lance S. Changez vos habitudes.» 

samedi 8 février 2014

Grève des Taxis le lundi 10 février 2014

Après avoir déjà manifesté début janvier, les taxis vont se mobiliser, lundi, dans les rues de Paris et dans les principales villes de province. Cette manifestationlancée par les syndicats (CFDT, CGT, FO, SDCTP et CST) qui avait déjà bloqué Paris en janvier, devrait être largement suivie. 



A Paris, les taxis formeront un cortège qui partira dès 8 heures des aéroports de Roissy et Orly pour rejoindre à petite allure le centre de la capitale vers le Trocadéro.
Cette mobilisation intervient alors que 
le Conseil d'Etat a décidé de suspendre en référé le décret promulgué à la fin de l'année dernière par le gouvernement. Un texte qui imposait depuis le 1er janvier un délai minimum de quinze minutes entre la commande d'un VTC (chauffeur privé) par un client et sa prise en charge effective. Or pour les taxis, cette décision est inacceptable. Ils s'estiment victimes d'une «concurrence déloyale» en voyant leur monopole sur le marché de la maraude (la prise en charge immédiate sur la voie publique) fondre comme neige au soleil.

«Le Conseil d'Etat est en déphasage complet avec la réalité du terrain. On veut maintenant que l'Etat prenne ses responsabilités en légiférant car nous sommes en train de couler à petit feu», a réagi Nordine Dahmane (FO-taxis). En France, la profession de taxi est réglementée : pour avoir le droit d'installer le fameux signal lumineux sur leur voiture, les chauffeurs doivent être titulaires d'un certificat de capacité professionnelle, et plus délicat à obtenir car régie par un numérus clausus, avoir une licence dont le prix dépasse les 200 000 euros à Paris. Et si les taxis sont les seuls à pouvoir stationner aux abords des aéroports et des gares et à pouvoir faire de la maraude, ils estiment que ces privilèges ne suffisent pas à compenser le manque à gagner que représente l'arrivée des VTC.
A l'inverse, les VTC voyaient dans ce décret une atteinte à leur liberté d'entreprendre. Ils étaient soutenus dans cette analyse par l'Autorité de la concurrence, qui a estimé dans un avis rendu en décembre que le délai de quinze minutes était susceptible d'engendrer « des distorsions de concurrence ». Quant aux VTC qui ne se limiteraient pas au marché de la réservation comme l'a prévu la loi, « ils ne relèvent pas de la concurrence mais de la fraude. C'est d'abord un problème de police », jugeait l'Autorité. Lundi, plusieurs sociétés de VTC  ont décidé d'éviter les aéroports de peur d'être pris à parti par des chauffeurs de taxis comme lors de la manifestation de la mi-janvier.

Face à cette guerre qui existe depuis 2009, le gouvernement avait jusqu'ici tenté de concilier emploi (9 800 VTC) et paix sociale avec les 50 000 taxis mais la situation devient de plus en plus difficile à gérer. Jean-Marc Ayrault, Premier ministre a annoncé la nomination d'une personnalité chargée de proposer de nouvelles règles pour éviter la concurrence entre les deux professions. «Nous allons reprendre ce travail. Il faut à la fois améliorer le service rendu aux usagers et en même temps faire en sorte que la profession de taxi, qui nécessite un investissement - ça coûte 200.000 euros pratiquement à un taxi pour s’installer, il ne faut pas qu’il y ait de disparité à ce niveau...», a-t-il expliqué. Les syndicats de taxis ont demandé, eux, au gouvernement «de prendre ses responsabilités en légiférant» mais aussi la refonte de la prise en charge des malades par la Sécurité Sociale. Une activité qui en province représente plus de 50 % du chiffre d’affaires. 
En attendant, les taxis ne devraient pas baisser la garde. Le 13 mars, 8 organisations de taxis (comme la FFTP, la FNDT ou l'Unit) ont déjà prévu de frapper un grand coup en bloquant les grandes villes de France. Les syndicats réclament une législation durcie pour les VTC et la refonte de la prise en charge des malades par la Sécurité Sociale. Une activité qui en province représente plus de 50 % du chiffre d’affaires.


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