vendredi 28 novembre 2014

Nouveau Tablier passager pour l'hiver

Encore du nouveau dans l'équipement,

Voici le Tablier d'hiver qui vous protégera du froid:

-PVC lourd doublé fourrure
-Ne flotte pas a haute vitesse
-Couvre selle arrière intégré
-Fabrication Française
 


                                                          WWW.GOODWAY-TAXI.COM

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GOODWAY TAXI MOTO PARIS

vendredi 29 août 2014

Du Nouveau dans l'équipement : Gilet Airbag









Voici le teste vidéo du Gilet Airbag 

Cette équipement n'est pas obligatoire mais nos chauffeurs équipés vous le proposerons à chacun de vos trajet.


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jeudi 15 mai 2014

Manifestation des taxis motos



Les revendications 
Les motards, qui exercent pour nombre d’entre eux sous le statut de profession libérale, sans licence mais dans le respect du décret du 11 octobre 2010 relatif au transport public de personnes avec conducteur, et de la loi 2009-888, demandent :
- la fin de la réservation obligatoire, avec en corollaire le droit de stationner dans les gares et aéroports,
- une véritable formation au métier, qui permettrait de mettre fin aux pratiques douteuses de certains conducteurs nuisant à l’ensemble de la profession,
- la suppression des sanctions draconiennes dont ils sont l’objet : 15.000 euros d’amende et le risque d’un an d’emprisonnement s’ils sont pris en flagrant délit de « racolage », par la police des taxis, dans les gares et aéroports.
- la fin des contrôles abusifs des forces de l’ordre, devenus systématiques depuis plusieurs mois, selon plusieurs motards.
Information et réservation 


dimanche 4 mai 2014

Le prix des plaques de taxis parisiens s'effondre

Selon la profession, la concurrence des voitures de tourisme avec chauffeur (VTC) explique la chute des tarifs.





C'est une mauvaise nouvelle pour les chauffeurs en activité, une bonne pour ceux qui veulent embrasser la profession: le prix des plaques des taxis parisiens a littéralement chuté ces derniers mois. Selon les chiffres de la Préfecture de police, compilés par les syndicats professionnels, il affiche une baisse de 25 % depuis janvier 2013, à 190.000 euros la plaque. «La crise économique mais aussi la concurrence des voitures de tourisme avec chauffeur (VTC) explique cette situation, se désole Yann Ricordel, directeur général de la plate-forme des Taxis Bleus. Rien qu'en février, le tarif de la licence a chuté de 11 % par rapport à janvier.» Les taxis disposent en effet d'un instrument fiable pour mesurer l'attrait de leur profession: le cours de «l'autorisation de stationnement», autrement dit la licence, document délivré à Paris par la Préfecture de police.
Paradoxe: cette autorisation est attribuée gratuitement mais son titulaire peut la céder à titre onéreux. Pour obtenir ce document sans bourse délier, il faut patienter entre 15 et 18 ans. Les plus pressés l'achètent et les cours fluctuent logiquement en fonction de l'offre et de la demande. En ce moment, c'est donc marée basse: le cours qui culminait à 240.000 euros en janvier 2013 s'est effondré.
Les plaques sont le plus souvent vendues de gré à gré, sur les forums professionnels ou par l'intermédiaire des syndicats. «Les ventes ont baissé sensiblement ces derniers temps, à cause des mesures proposées par le rapport Thévenoud pour redéfinir les relations entre VTC et taxis, souligne Nordine Dhamane, de FO. En d'autres temps, pendant la guerre d'Irak par exemple, les prix avaient nettement baissé à cause de craintes sur la sécurité qui avaient limité les voyages aériens.»

La Côte d'Azur flambe

Le prix des plaques parisiennes est toutefois loin d'être d'un record: la Côte d'Azur affole tous les compteurs et il est assez difficile de s'y installer. «À Nice ou à Cannes, les transactions peuvent atteindre 350 000 euros, assure Jean-Pierre Sobrero, président d'Allo Taxis niçois. Ici tout est plus cher qu'ailleurs, le taxi comme l'immobilier». Et le faible nombre de plaques (437) ne tire pas les prix à la baisse sur la Riviera!
À Paris, 17.736 taxis sont officiellement répertoriés. «C'est plutôt 18.500 plaques, croit savoir Yann Ricordel. On accorde plus de 700 plaques par an dans la capitale mais les comptes évoluent tout le temps.» Environ 80 par mois, confirme FO. Un chiffre qui a connu des fluctuations très brutales. «En 2008, par exemple, des cadres licenciés ont investi leurs indemnités pour s'installer», note un spécialiste. Les prix ont alors grimpé.
La baisse actuelle du cours des plaques arrive à point nommé: c'est une façon de justifier, a priori, le mécontentement que pourrait provoquer l'évolution future de la réglementation.

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jeudi 27 mars 2014

Reglementation du Taxi Moto

Réglementation du transport de personnes par véhicules motorisés à 2 ou 3 roues (dits "motos-taxis")




Une nouvelle réglementation encadre depuis le 1er avril 2011 les activités à titre onéreux de personnes par véhicules motorisés à deux ou trois roues, dites "motos-taxis" (art. 5 de la loi n°2009- 888 du 22 juillet 2009).
Le transport de personnes à moto ne peut se faire que sur réservation préalable, seuls les taxis étant autorisés à attendre la clientèle sur la voie publique.
Les tarifs sont laissés libres, contrairement à ceux des taxis.
 Les conducteurs doivent être titulaires d'une carte professionnelle, délivrée par le préfet de leur département et, à Paris, par le Préfet de Police, sous certaines conditions :
  • être titulaire d'un permis de catégorie A dont la période probatoire est achevée ;
  • être titulaire d'une attestation délivrée par le préfet, après vérification médicale de l'aptitude physique ;
  • ne pas avoir commis d’infraction grave au Code de la route entraînant une perte de six points du permis de conduire ;
  • ne pas avoir été condamné pour conduite sans permis dans la catégorie du véhicule considéré, ou malgré l’invalidation ou l’annulation du permis ;
  • ne pas avoir été condamné pour vol, escroquerie, atteinte volontaire à l'intégrité physique, agression sexuelle ou infraction à la législation sur les stupéfiants.
Une obligation d'aptitude médicale périodique conforme aux dispositions des articles R.221-10 et 11 du code de la route est nécessaire.
La périodicité en fonction de l'âge du conducteur est définie au 2° du R.221-11 CR : cinq ans pour les conducteurs de moins de soixante ans, deux ans à partir de l'âge de soixante ans et un an à partir de l'âge de soixante-seize ans. Toutefois, pour les conducteurs titulaires de la catégorie D du permis de conduire, la périodicité maximale est d'un an à partir de l'âge de soixante ans.
 Les véhicules motorisés à deux ou trois roues devront :
Le non-respect des principales dispositions de ce décret (non-possession de la carte professionnelle, emploi de conducteurs non titulaires de cette carte, utilisation de véhicules non conformes) sera passible de contraventions de la cinquième classe (1500 € d'amende maximum, portée à 3000 € maximum en cas de récidive, avec possibilité de peines complémentaires).

Application Disponible Sur AppStore et Google Play Android
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dimanche 16 mars 2014

La circulation alternée sera appliquée lundi à Paris

Circulation alternée: Mode d'emploi



Les véhicules aux immatriculations impaires circulent les jours impairs, les immatriculations paires les jours pairs: c'est le principe de la circulation alternée qui sera mise en place lundi à 5h30 à Paris et dans la Petite couronne, avec toute une série de dérogations. À l'issue d'une cinquième journée de pic de pollution, Jean-Marc Ayrault a décidé samedi de mettre en place la circulation alternée à Paris et sa petite couronne, un dispositif assez impopulaire qui n'a été appliqué qu'une seule fois en France.
• Quels sont les véhicules concerné?
Lundi étant un 17, seuls les véhicules dont le dernier chiffre sur la plaque d'immatriculation est impair pourront circuler. Les modalités du dispositif sont précisées notamment dans un arrêté interpréfectoral du 27 octobre 2011 «relatif à la procédure d'information et d'alerte du public en cas de pointe de pollution atmosphérique en région d'Ile-de-France». La mesure concerne les voitures particulières et les deux-roues immatriculés. La circulation de poids-lourds sera, elle, interdite quel que soit le jour. Le dispositif annoncé par le gouvernement s'applique à Paris et aux départements de la Petite couronne, c'est-à-dire les Hauts-de-Seine, le Val-de-Marne et la Seine-Saint-Denis.
• Existe-t-il des dérogations?
Le dispositif peut paraître simple mais il existe toute une série de dérogation. Les conducteurs possédant des véhicules jugés vertueux n'auront pas à se préoccuper de leur immatriculation. Cette catégorie comprend les voitures électriques, hybrides et celles fonctionnant au gaz. Il en va de même pour les véhicules d'incendie et de secours, de transports liés à la santé, d'handicapés, de médicaments, de transport funéraire... Les cars, taxis, véhicules d'auto-école seront aussi autorisés à circuler tout comme les véhicules et engins de chantier, de dépannage, de déménagement, de nettoiement, bennes à ordures, transports de fonds, de journaux, postaux, camions citernes, camions frigorifiques, etc. Enfin, les conducteurs de bus ou de métro peuvent ainsi utiliser leur voiture quelque soit sa plaque d'immatriculation pour se rendre à leur travail, de même que les représentants de commerce, les journalistes...
• Quelles sont-les alternatives prévues?
Comme ce week-end, les transports en commun seront gratuits lundi en Ile-de-France. «En lien avec le gouvernement, j'ai pris la décision d'assurer la gratuité des transports publics dans toute l'Ile-de-France depuis vendredi dernier. La gratuité sera maintenue pendant toute la durée de l'épisode, et ce, jusqu'à ce que le Préfet de police lève la mise en place de la circulation alternée à Paris et en petite couronne», a annoncé Jean-Paul Huchon, président du conseil régional d'Ile de France. Les autorités encouragent également le covoiturage. Les véhicules transportant au moins trois personnes ne sont pas concernés par l'interdiction de circuler.
• Que risque-t-on en cas d'infractions?
Toute infraction est passible d'une contravention de 2e classe (amende de 22, 35 ou 75 euros), assortie d'une mesure d'immobilisation du véhicule et éventuellement d'une mise en fourrière. La préfecture de police devrait opérer de nombreux contrôles mobiles en ville.
• Cette mesure est-elle efficace?
La mesure n'a été testé qu'une seule fois. «C'est une bonne mesure. En 1997, elle avait été efficace et avait entraîné une baisse de 20% des dioxydes d'azote dans le centre de Paris», assure Jean-Félix Bernard, président d'Airparif, association en charge de la surveillance de la qualité de l'air en Ile-de-France. La circulation alternée est un sujet hautement polémique. Les associations d'automobilistes ne sont pas du même avis. «Je suis atterré de voir qu'un petit lobby a réussi à mettre dans la tête des gens que la voiture était la cause du pic de pollution. Cette mesure est pire qu'injuste, elle est stupide», déclare Pierre Chasseray, directeur général de l'association 40 millions d'automobilistes. «La santé publique nécessite un effort», estime pour sa part le ministre de l'Écologie, Philippe Martin.

Application "goodway taxi moto" disponible sur Appstore et Google play.

Explication de la pollution en image




mercredi 12 mars 2014

Les Taxis Motos à Bruxelles (Brussels)



Les Taxis-motos marchent bien à Paris, pour éviter les embouteillages.
A Bruxelles, un projet-pilote a été lancé par le gouvernement, il y a presque deux ans. Et ici, ça ne marche pas du tout.
Ce concept lancé par la région, existe depuis mars 2012.
Même principe que le taxi classique mais sur deux roues, une façon de circuler plus vite dans un Bruxelles engorgé.

Le Taxi-moto fonctionne par forfait : 20 euros la course dans Bruxelles mais la clientèle ne se bouscule pas, explique Abel Moussa, de taxi moto'stop :

                                    "J’ai trouvé une clientèle exclusivement composée de Parisiens,

lorsqu’ils ont à faire ici à Bruxelles. J’ai à peine trois courses par mois. Je visais un minimum de dix courses par jour et j’en suis très très loin". Trois des six sociétés de Taxi-moto ont déjà mis la clé sous la porte. D'ici un mois, la région évaluera ce projet pilote. Pourquoi ça coince? Les a priori sur la moto? Selon Abel Moussa, c'est un manque de soutien : "Surtout un manque de visibilité, je suis convaincu que la majorité des Bruxellois ignore l’existence du Taxi-moto. Nous demandons juste à avoir des emplacements. Nous sommes interdits sur les emplacements taxis". Pour ces emplacements, il faut payer une taxe. Quant à la publicité, Brigitte Grouwels, la ministre bruxelloise des Transports, rappelle que des flyers ont été largement distribués. Elle souligne aussi qu'à Paris, le concept a mis bien plus de deux ans avant de décoller
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lundi 10 mars 2014

vendredi 7 mars 2014

L'application GOODWAY Taxi Moto sur AppStore


Notre application déja disponible sur Google Play Android est maintenant disponible sur l'Appstore


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jeudi 6 mars 2014

Radars : l'étude de l'Insee qui tue

L'Insee publie une étude sur l'impact des radars fixes entre 1998 et 2007 sur les accidents de la route. Conclusion : "un effet réduit à long terme" !




C'est le pavé dans la mare après les dernières préconisations du CNSR. Dans une épaisse étude scientifique publiée cette semaine, l'institut officiel de la statistique a passé au crible de ses chercheurs et de leurs outils informatiques imparables l'intégralité des données concernant l'impact des quelque 2 000 radars implantés sur le territoire français. Et la conclusion en surprendra plus d'un, au gouvernement comme dans les associations de défense des automobilistes ou des victimes de la route.
Ainsi, pour Sébastien Roux et Philippe Zamora, les auteurs, "l'installation des radars fixes dans les communes de moins de 6 000 habitants aurait évité, en extrapolant sur la période de 2003 à 2011, environ 740 décès, 2 750 blessés graves et 2 230 accidents graves". Soit moins d'une centaine de vies sauvées par an, dans le jargon de la Sécurité routière !

Impact des radars faible sur l'accidentologie

L'impact des radars est donc faible sur l'accidentologie aux conséquences mortelles et c'est bien la première fois que des scientifiques peuvent appuyer leurs démonstrations sur l'outil incontestable de la statistique. Pour parer à toutes critiques non fondées émanant des "pro-radars" comme des "anti-radars", les deux auteurs prennent soin d'apporter toutes les nuances nécessaires d'interprétation et, là aussi, les spécialistes comme le conducteur néophytes ne seront pas étonnés d'apprendre que "l'effet des radars fixes sur les accidents de la route est important après l'installation, mais plus réduit à long terme".
Et nos deux scientifiques d'avancer des chiffres précis : "Cet effet décroît au-delà de six mois, tout en restant substantiel : une réduction de 11 % pour les accidents et de 25 à 50 % pour les décès, par rapport à une situation sans radar fixe." Ils avancent une explication précise : les effets "de halo spatial" de l'implantation d'un radar qui affecte des zones plus ou moins larges autour du site lui-même, les conducteurs continuant à se comporter prudemment après et dans la zone de ce radar. La diffusion des GPS embarqués ou des systèmes comme Coyote ou l'application communautaire Waze avertissant d'un radar fixe (les radars mobiles sont inexploitables statistiquement) provoque des changements de comportement. Ils notent ainsi que certains automobilistes, cherchant à éviter ces radars fixes, modifieraient leurs trajets pour emprunter le réseau secondaire et, ce faisant, feraient baisser le trafic et donc les accidents sur les routes où les radars fixes sont implantés.

La baisse des accidents due à d'autres facteurs

Mais là encore, les auteurs précisent que "l'effet de halo a donc toutes les chances d'être décroissant au cours du temps, comme le serait l'effet global des radars" ! Et d'ajouter que "les radars auraient un impact deux fois plus fort à court terme qu'à long terme"... D'autre part, "c'est sur les routes départementales et nationales que la baisse du nombre d'accidents est la plus visible puisqu'une faible proportion se produit sur les autoroutes ou sur la voirie urbaine".
Pour tous ceux qui n'auraient pas encore saisi les distinctions à faire entre vitesse, accidents, radars et répression, les auteurs rappellent aussi que de nombreuses campagnes médiatiques ont été conduites pour changer le comportement des conducteurs, que les voitures ont été améliorées en termes de sécurité (ce que Auto-Addict soutient depuis toujours), qu'un grand nombre de ralentisseurs et de ronds-points ont été construits. Tous ces facteurs pourraient aussi expliquer la très forte baisse du nombre d'accidents (dixit p.38). Autant de raisons de ne pas se focaliser sur les vertus miraculeuses des radars fixes dans la baisse du nombre de morts.

"Réfléchir à une autre technologie de contrôle"

Mais nous avons gardé le meilleur pour la fin puisque, selon Sébastien Roux et Philippe Zamora, concernant "cette atténuation progressive des effets locaux des radars fixes (sur le nombre de morts, NDLR) - si ce phénomène était confirmé -, il conviendrait alors d'expliquer à quoi il tient et il faudrait probablement réfléchir à une autre technologie de contrôle systématique des vitesses" ! Vous aurez compris que cette étude scientifique de l'Insee, organisme officiel, ne sera pas au menu du prochain CNSR.

L'armure des policiers pour la prochaine coupe du monde


L'armure des policiers paramilitaires qui vont couvrir la Coupe du monde 2014 au Brésil vient d'être présentée à la presse


mercredi 5 mars 2014

Radar qui flash par l'arrière - Conducteur non identifié


Ce que changent les cabines qui flashent de dos


Les cabines radars dernière génération, plus “esthétiques” et, surtout, plus petites, sont désormais implantées pour flasher les véhicules de dos. Il en va de même des anciennes boîtes grises qui ont été retournées pour, elles aussi, photographier par l’arrière…



Tous égaux devant le radar
Jusqu’alors, la plupart des cabines prenaient les véhicules de face. Les deux roues
étaient ainsi épargnés pour cause d’identification impossible. À présent, un gros plan sur la plaque arrière logera tout le monde à la même enseigne. Conséquence de ce retournement de situation, plus d’argent dans les caisses de l’État, car tous les titulaires de carte grise en faute, sans exception, recevront une contravention. À charge pour eux de s’acquitter de l’amende et de subir le retrait de point(s), de contester ou encore de démontrer qu’ils n’étaient pas au volant (voir “Un motif supplémentaire pour contester”).

Flashé de dos
=> Vous pouvez prouver que vous n’étiez pas au volant: faites valoir l’article L121-3 du code de la route pour être exempté du PV.=> Vous ne pouvez pas prouver que vous étiez ailleurs : contestez, seule l’amende sera à payer (souvent doublée si vous passez devant le juge)
Conducteur non identifié
En théorie, avec les radars automatiques, vous avez la possibilité de réclamer les
clichés de la plaque et de l’habitacle. Ces derniers peuvent vous aider, au moindre doute, à identifier le contrevenant, et vous permettre de réagir en conséquence. Autrement dit, dénoncer le conducteur – aucune obligation légale –, ou contester si vous ne souhaitez pas céder à la délation ou si vous pouvez prouver que vous ne conduisiez pas à ce moment-là. En pratique, c’est plus compliqué puisque, sur certaines photos, seules les plaques sont visibles. Libre à vous alors de contester ou
de payer l’amende. Avec ces nouvelles implantations, et si vous n’êtes pas responsable
de l’excès de vitesse, faites l’impasse sur la photo – sauf si vous suspectez une usurpation de plaques – et passez directement à la case “contester” ou “dénoncer”.
Un motif supplémentaire pour contester
Avec une cabine flashant de l’arrière, le conducteur n’est pas identifié. Sachant que
seul l’auteur véritable de l’infraction peut être poursuivi pénalement, vous ne devriez avoir que le PV à payer. En pratique, pour limiter la sanction à l’amende et éviter le retrait de points, vous devez contester. Là, passage quasi obligé devant le juge. Mais le jeu doit en valoir la chandelle. Votre capital points doit être suffisamment entamé
pour menacer de s’épuiser, car si vous ne vous sentez pas à la hauteur, le remède pourrait s’avérer pire que le mal !
Attention, le paiement de l’amende vaut reconnaissance de l’infraction et annule tout recours. Vous ne devez donc pas régler l’avis mais en “consigner” le montant (68 ou 135 € selon l’infraction) pour avoir le droit de contester. Faites-le par Internet (Amendes.gouv.fr) afin de ne pas risquer de voir votre chèque de consignation “détourné” en paiement du PV, avec retrait automatique de point(s) à la clé (si, si, cela s’est produit à plusieurs reprises !). Joignez le justificatif de versement à la requête en exonération, accompagnée d’un courrier explicatif, et envoyez le tout en recommandé
avec accusé de réception au Cacir de Rennes (1). Attendez-vous ensuite à comparaître
au tribunal. Là, le dossier prouvant que vous n’étiez pas au volant devra être
béton (attestations employeur ou médicale, justificatifs, etc.), pour espérer convaincre
le juge de le classer sans suite. Sinon, vous devrez vous acquitter d’une somme supérieure à celle de l’amende initiale (en théorie jusqu’à 450 ou 750 € selon l’infraction, en pratique, souvent de 150 à 300 €).
L’article de loi à retenir
D’après l’article L121-3 du code de la route, le titulaire du certificat d’immatriculation est
redevable pécuniairement de l’amende pour certaines fautes, comme l’excès de vitesse. Toutefois, il doit en être exempté s’il établit l’existence d’un vol ou d’un cas de force majeure, ou s’il prouve qu’il n’est pas l’auteur de l’infraction. Idem pour les poursuites pénales (retrait de point(s), suspension de permis…), où seul l’auteur véritable de l’infraction, clairement identifié, est responsable.
1. Cacir centre automatisé de constatation des infractions routières, CS 41101 35911 Rennes Cedex 9
Comment contester ?
Ce courrier doit être envoyé à l’officier du ministère public. Joignez-y l’original de l’avis, les photocopies de la carte grise, de la requête en exonération, du récépissé de consignation (68 ou 135 €) et de tous les justificatifs possibles.
“Monsieur l’officier du ministère public,
J’ai été verbalisé(e) dans les conditions suivantes… [date, lieu, vitesse]. Or, je ne pouvais me trouver sur ces lieux à ce moment-là… [j’avais prêté mon véhicule, nous étions plusieurs personnes susceptibles d’être au volant, j’étais ailleurs, etc.]. Je sollicite le classement sans suite ou, à défaut, de comparaître devant un juge pour m’expliquer.
Je vous prie de croire, etc.”

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Ce contenu a été publié dans Le Guide Anti-PVLes cabines qui flashent de dosLes dossiers d'Auto Plus par Auto Plus. 

lundi 3 mars 2014

Du nouveau dans l'équipement des casques

Nouveau écran anti-buée sur nos casques



Même avec la visière fermée, vous ne serez plus dérangé par la buée

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Du nouveau dans l'équipement de pluie

Nouveau manteau de pluie de marque IXON 

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 Produit répondant aux premières exigences de la moto

Capuche intégrée dans le col
Poches pour protections coudes, épaules et dorsale, ARRON 
Col montant intérieur velours
Manches droites
Serrages col et poignets par velcro
Double serrage intérieur à la taille
Larges goussets d’aisance sur les côtés, se fermant par velcro
Grandes poches extérieures et intérieures

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mercredi 26 février 2014

Péavis de grève ce week-end pour les départs au ski


RÉACTION - Un préavis de grève a été déposé pour samedi 1er et dimanche 2 mars par Sud Rail et la CGT cheminots de la région ferroviaire de Chambéry, pour le grand chassé-croisé des vacances d'hiver.

Le week-end s'annonce compliqué pour les voyageurs sur les rails dans les Alpes. Un préavis de grève a été déposé pour samedi 1er et dimanche 2 mars par les cheminots de la région ferroviaire de Chambéry pour le grand chassé-croisé des vacances d'hiver. L'Ain, la Savoie, la Haute-Savoie et l'Isère sont concernés. Pour l'instant, les négociations entre les syndicats (Sud Rail et  CGT) et la direction sur le manque de moyens sont au point mort. 

Le mouvement peut encore être levé. Mais si rien n'aboutit d'ici vendredi après midi, "il y aura des désagréments très importants pour les voyageurs", assure le secrétaire général des cheminots de la CGT Chambéry. "On ne dépose pas un préavis de grève sur un tel week-end sans avoir pris tous les éléments en compte. Il ne s'agit pas d'un coup de bluff. On est disponibles jusqu'à vendredi 17 heures pour faire en sorte de trouver un terrain d'entente. Il y a plusieurs dizaines de milliers de voyageurs qui sont attendus. La vraie responsabilité de la direction, c'est de nous entendre", précise Bernard Tournier.

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samedi 22 février 2014

L'application Goodway est arrivée

NOUVEAU vous pouvez dès maintenant télécharger notre application smartphone pour Android
                                                                               
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samedi 15 février 2014

TAXIS vs VTC

Taxis vs VTC: Cinq raisons qui montrent que le modèle du taxi s'essouffle, selon nos internautes (20 minutes.fr)


TÉMOIGNAGES - Voiture ou chauffeur ou taxi? En affichant clairement leur préférence, les internautes de «20 Minutes» intiment les chauffeurs de taxi à «se remettre en question»...

Une pancarte lors d'une manifestation de taxis à l'aéroport de Roissy (Val d'Oise) le 10 février 2014 THOMAS SAMSON / AFP


Difficile de ne pas voir la tendance qui se dessine parmi les internautes franciliens, toujours favorables à «la concurrence qui rafraîchit l’offre et c’est tant mieux», comme l’écrit M. A Paris et en banlieue, prendre un taxi n’est pas rare. En fin de soirée, pour rentrer de l’aéroport ou pour raisons professionnelles. L’expérience est là, et ne parle pas pour les taxis.
Face à eux, les voitures de tourisme avec chauffeurs (VTC) bousculent le modèle classique et font dire aux internautes que l’heure est au renouveau. «Je suis au regret de vous annoncer qu'un client qui a goûté aux VTC, c'est un client adopté, juge un internaute. Et il fera des émules autour de lui. Voyez les VTC comme des collègues, mettez-vous au niveau, un point c'est tout.»
1-      «Des rustres malpolis»
C’est sans doute la critique qui revient le plus souvent. Mythe «qui nous fait passer pour des rustres malpolis» se plaint un internaute chauffeur de taxi ou réputation méritée, les taxis sont décrits par beaucoup d’internautes comme peu courtois, avec un véhicule peu accueillant. «Ils se croient tout permis», résume Sylvie. «Ton agressif, voiture sale, voire alcool au volant»: S. pourrait «écrire un roman».
Les VTC, eux remportent la palme de l’accueil. «Courtois, la voiture sent bon, il n’y a pas la musique à fond ou le match de foot» selon Sylvie. «Oui si les VTC ont du succès, c'est qu’ils ne vous gueulent pas dessus et en plus, on peut arriver à l'heure.»
2-      «Ils râlent parce que la course est trop courte»
Porte de Saint Cloud il y a quelques semaines, après un salon, Sylvie, qui travaille dans l’événementiel, cherche un taxi pour rentrer chez elle à Sèvres. A 10 minutes de voiture certes, mais chargée de plusieurs valises. «Prenez le suivant». Sylvie a entendu cette phrase une dizaine de fois. «Ils soufflaient, se souvient-elle, comme s’ils étaient excédés». Quand elle parvient à en convaincre un, elle passe 10 minutes dans une voiture «miteuse», conduite par un chauffeur «qui n’a pas arrêté de râler parce que la course était trop courte.»
3-      «En proche banlieue, on ne le demande pas, on le quémande»
Fossoyette nous rejoue le scénario habituel. «En proche banlieue, le chauffeur nous dit après une heure et demie d'attente "vous avez de la chance que je sois là". On ne le demande pas, on le quémande.» Après «10 ans en Ile-de-France et pas mal de déplacement en avion», S. confirme. «Orly-Rueil Malmaison, aucun taxi n'a voulu me prendre. Il m’a fallu 2 heures avec 20 kg de bagage pour en trouver un pas très officiel qui accepte la course.»
4-      «Des surprises sur le prix»
«Pour en prendre régulièrement, nous dit Loulou, sur une course "standard", le VTC est un peu plus cher que le taxi.» Un prix parfois plus élevé, comme nos testeurs l’ont vu à Paris. Mais pas de surprise. Surtout, pas d’esbroufe possible, de courses rallongées ou de compteurs déjà enclenchés, illustre Sylvain. Et si le prix vous déçoit, avec les VTC, «vous avez la possibilité de refuser la course», poursuit Slyde.
5-      «Ils ne prennent pas la carte bancaire»
«Combien de fois ai-je entendu un conducteur de taxi dire que son appareil de carte bancaire est en panne? interroge Aksel. Ou encore mieux qu'il ne la prend pas. A ce jour le service des taxis notamment parisiens n'est pas à la qualité attendue du XXIe siècle.» «Taxis, vous voulez travailler? lance S. Changez vos habitudes.» 

samedi 8 février 2014

Grève des Taxis le lundi 10 février 2014

Après avoir déjà manifesté début janvier, les taxis vont se mobiliser, lundi, dans les rues de Paris et dans les principales villes de province. Cette manifestationlancée par les syndicats (CFDT, CGT, FO, SDCTP et CST) qui avait déjà bloqué Paris en janvier, devrait être largement suivie. 



A Paris, les taxis formeront un cortège qui partira dès 8 heures des aéroports de Roissy et Orly pour rejoindre à petite allure le centre de la capitale vers le Trocadéro.
Cette mobilisation intervient alors que 
le Conseil d'Etat a décidé de suspendre en référé le décret promulgué à la fin de l'année dernière par le gouvernement. Un texte qui imposait depuis le 1er janvier un délai minimum de quinze minutes entre la commande d'un VTC (chauffeur privé) par un client et sa prise en charge effective. Or pour les taxis, cette décision est inacceptable. Ils s'estiment victimes d'une «concurrence déloyale» en voyant leur monopole sur le marché de la maraude (la prise en charge immédiate sur la voie publique) fondre comme neige au soleil.

«Le Conseil d'Etat est en déphasage complet avec la réalité du terrain. On veut maintenant que l'Etat prenne ses responsabilités en légiférant car nous sommes en train de couler à petit feu», a réagi Nordine Dahmane (FO-taxis). En France, la profession de taxi est réglementée : pour avoir le droit d'installer le fameux signal lumineux sur leur voiture, les chauffeurs doivent être titulaires d'un certificat de capacité professionnelle, et plus délicat à obtenir car régie par un numérus clausus, avoir une licence dont le prix dépasse les 200 000 euros à Paris. Et si les taxis sont les seuls à pouvoir stationner aux abords des aéroports et des gares et à pouvoir faire de la maraude, ils estiment que ces privilèges ne suffisent pas à compenser le manque à gagner que représente l'arrivée des VTC.
A l'inverse, les VTC voyaient dans ce décret une atteinte à leur liberté d'entreprendre. Ils étaient soutenus dans cette analyse par l'Autorité de la concurrence, qui a estimé dans un avis rendu en décembre que le délai de quinze minutes était susceptible d'engendrer « des distorsions de concurrence ». Quant aux VTC qui ne se limiteraient pas au marché de la réservation comme l'a prévu la loi, « ils ne relèvent pas de la concurrence mais de la fraude. C'est d'abord un problème de police », jugeait l'Autorité. Lundi, plusieurs sociétés de VTC  ont décidé d'éviter les aéroports de peur d'être pris à parti par des chauffeurs de taxis comme lors de la manifestation de la mi-janvier.

Face à cette guerre qui existe depuis 2009, le gouvernement avait jusqu'ici tenté de concilier emploi (9 800 VTC) et paix sociale avec les 50 000 taxis mais la situation devient de plus en plus difficile à gérer. Jean-Marc Ayrault, Premier ministre a annoncé la nomination d'une personnalité chargée de proposer de nouvelles règles pour éviter la concurrence entre les deux professions. «Nous allons reprendre ce travail. Il faut à la fois améliorer le service rendu aux usagers et en même temps faire en sorte que la profession de taxi, qui nécessite un investissement - ça coûte 200.000 euros pratiquement à un taxi pour s’installer, il ne faut pas qu’il y ait de disparité à ce niveau...», a-t-il expliqué. Les syndicats de taxis ont demandé, eux, au gouvernement «de prendre ses responsabilités en légiférant» mais aussi la refonte de la prise en charge des malades par la Sécurité Sociale. Une activité qui en province représente plus de 50 % du chiffre d’affaires. 
En attendant, les taxis ne devraient pas baisser la garde. Le 13 mars, 8 organisations de taxis (comme la FFTP, la FNDT ou l'Unit) ont déjà prévu de frapper un grand coup en bloquant les grandes villes de France. Les syndicats réclament une législation durcie pour les VTC et la refonte de la prise en charge des malades par la Sécurité Sociale. Une activité qui en province représente plus de 50 % du chiffre d’affaires.


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